La Mauritanie bénéficiera, en passant par l’étape d’évaluation, du programme de résilience et de durabilité, qui est une étape record, puisque le projet fournira actuellement 150% de la part de notre pays du fonds, en plus de la part de 50% niveau dans la première étape.
Ces déclarations ont été faites par le Gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) Mohamed Lemine Ould Dhehby, selon lequel, le programme a été signé et les ressources économiques sont présentes, notamment en termes de réserve générale de devises fortes, qui a augmenté ces dernières années de 20%.
Le nouveau programme permettra de bénéficier davantage de la quote-part allouée par le Fonds monétaire international, en tenant compte de plusieurs réformes structurelles à moyen terme et en intégrant les changements climatiques dans les politiques économiques, a indiqué Ould Dhehby.
Lors discussions avec la mission du FMI, cette dernière a noté que l’adoption des programmes avec les pays, est simple, disant que franchir la première étape demande un grand effort, "et c’est ce qui a déjà été fait dans notre pays", a poursuit Ould Dhehby, selon lequel, les réformes entreprises sont importantes et porteront leurs fruits, notamment avec la politique visant à rationaliser les dépenses et à travailler à achever les infrastructures capables de renforcer et de diversifier l’économie.
La mission du FMI a mené avec succès ces derniers jours une mission qui comprenait la première revue du programme établi cette année avec le Fonds, en plus d’un accord qui prévoyait le passage à la deuxième phase du programme liée à la résilience et à la durabilité, a-t-il ajouté.
Il a souligné l’importance de cette mission, d’autant plus qu’elle met en œuvre la première revue du programme signé entre la Mauritanie et le Fonds, et qu’elle a également étudié la possibilité pour notre pays de bénéficier d’une facilitation d’accès à un programme visant à renforcer la résilience et la durabilité.
Le nouveau programme permettra de bénéficier davantage de la quote-part allouée par le Fonds monétaire international, en tenant compte de plusieurs réformes structurelles à moyen terme et en intégrant les changements climatiques dans les politiques économiques.
Il a déclaré que les réformes entreprises sont importantes et porteront leurs fruits, notamment avec la politique visant à rationaliser les dépenses et à travailler à achever les infrastructures capables de renforcer et de diversifier l’économie.