La 10e Conférence internationale sur l’énergie et les villes du futur, organisée par la Faculté des sciences et technologies de l’Université de Nouakchott, a débuté mercredi, avec la participation de plus de 70 professeurs, chercheurs et experts de Mauritanie, d’Algérie, du Sénégal, de Côte d’Ivoire, de France et du Canada venus pour échanger leurs points de vue sur les énergies propres et leurs utilisations futures à diverses fins dans les villes, afin de garantir un environnement propre et sans défaut.
Cette conférence, qui ne manquera pas de contribuer à améliorer les conditions des villes à l’avenir en fournissant une énergie propre, saine et respectueuse de l’environnement, qui garantit le bonheur des habitants de la planète aux coûts les plus bas, revêt un grande importance, a affirmé à cette occasion, le vice-président de l’Université de Nouakchott, Mohamed Fadel Didda
Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui est témoin de transformations continues et de graves défis, qui nécessitent une coopération internationale dans le domaine de l’énergie et de l’urbanisation et l’utilisation de nouvelles technologies afin de construire un monde avancé et sûr qui utilise une énergie propre dans ses villes et réduit les émissions de carbone nocives pour la santé et l’environnement.
le vice-président de l’Université de Nouakchott a rappelé que l’organisation de ce forum s’inscrit dans le cadre de l’échange d’expériences et du dialogue et de la volonté de tirer profit des expériences des pays qui ont fait de grands progrès dans la fabrication et l’utilisation des énergies propres.
La conférence a été marquée par les interventions du vice-doyen de la Faculté des sciences et technologies et des anciens présidents de la conférence, qui ont réaffirmé l’intérêt de cette conférence et la nécessité d’une coopération et d’efforts concertés pour atteindre ses objectifs, en particulier en facilitant la transition vers une économie durable à faible émission de carbone.